Combat de lutteurs, début XVIIe siècle, Ispahan ou Baghbad (Ouzbékistan) |
"Etant donné que la peinture iranienne ne connaît pratiquement pas de rivale dans le monde pour la pureté et l'intensité de ses couleurs, les apprentis devaient aussi découvrir les propriétés de chaque teinte, à la fois prise à part et en conjonction avec les autres ; en effet, dans les miniatures iraniennes, la palette ne se borne pas à former un "accord" visuel comme un bouquet de notes de musique : elle peut être "savourée" par fragments. Le plaisir est grand, par exemple, de regarder une miniature rien que pour le dessin des bleus, des rouges et des blancs tout seuls."
Source : Peinture iranienne, S. C. Welch, Chêne
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